À si seulement…..

28 février 2010 at 17 h 52 min (Non classé)

À si seulement j’étais une autre
À si seulement je n’existais pas
Jamais la maladie ne m’aurait attrapée
Jamais la maladie ne m’userait
 
À si seulement j’étais une autre
La vie m’aurait souri
À si seulement je n’existait pas
La vie ne m’aurait point pourri
 
Je rêvais de vie simple
Je vis dans ce monde si complexe
Je rêvais simplement
Je "cauchemarde complexement"
 
On rêve toujours d’être autre chose
Mais on vit rarement à coté de sa vie
Les rêves certes ne sont pas réel
Alors pourquoi mon cauchemard est -il vivant ????
 

Permalien Un commentaire

À ton âge…..

26 février 2010 at 21 h 43 min (Non classé)

Chaque jours qui passent
Ces mots résonnent
Chaque personnes que l’ont rencontres
Ces mots resortent
Marre d’entendre ces cupides paroles
Marre de ne point être pris au sérieux
Oui ma santé est bizarre
Depuis tant d’année je bataille contre ces mots
Pourquoi, comment, mais ça ne se voit pas
ET À TON ÂGE …..
J’ai de l’arthrose à toutes mes articulations
Et oui à mon âge mais je m’en passerai
Des os et disques qui s’usent prématurément
Et oui À MON ÂGE
Une arthrodèse, et une erreure chirurgicale
Un nerf coupé et un douleur permanente
OUI À MON ÂGE
Des vicères qui se foutent partent en sucette
ET OUI À MON ÂGE
Apprendre à vivre avec
En ai-je le choix ?
ME PLAINDRE
Ca changerai quoi ?
Écouter sans arrêt les médisances, ça c’est une épreuve car faudait-il que ces gens là connaissent mon parcours et ma vie pour me juger !!!
Je combats cette maladie pour essayer de vivre ou plutôt de survivre malgré tous
Je remet en place ce médecin qui disait que mon sourire je le perdrai tant la douleur est intense
Mais les challenge j’aime les remporter
Malgré mes nombreuses défaillances et une maladie qui progresse et m’enlève de jour en jour mes jambes.
Mais je ne faillirai pas car j’ai une mission et je la remplirais pour ma famille.
Je ne défaille jamais devant les épreuves et même si les gens me jugent ainsi et bien tanpis
Car ils ne me connaissent pas et leur indescence est vraiment injuste.
MA VIE N’A JAMAIS ÉTÉ ROSE ET CA QUOI QU’ELLES PENSENT ET DISENT ELLES N’ÉGALERONT JAMAIS MAIS GALÈRES.
Les personnes qui perdent leur temps à médire n’ont mcertaiment pas de compassion elles-mêmes alors ont-elles soufferts un jour???

Permalien Laissez un commentaire

Résiste

18 février 2010 at 10 h 28 min (Non classé)

Malgré l’inhumaine douleur
Malgré l’insoutenable je persiste
Je braverai cette put… de maladie
Elle me bouffe
Mais je ne rompts point
Malheur au chirurgien qui lui a ajouté son grain
Une erreur de pilotage
Le dommage collatéral
"oh juste un nerf franchement coupé"
Une merde qui titille en permanence et augmente cette sacrée douleur
Mourir, tout les jours j’y pense
Ma famille, tout les jours j’y pense
Alors mourir, plutard
La famille a l’abris d’abord
Douleur qui me rend aigri
Douleur tenace qu’aujourd’hui je ne supporte pas
Demain peut être mieux
Mais aujourd’hui pas
Ainsi est faite ma sinistre vie
Calcul incessant pour RÉSISTER
Calcul incessant pour SURVIVRE
Ne jamais pleurer, ne jamais lâché…..
Sur mon blog je déverse mes larmes
Qui chaques jours ruisselles le long de mon âme
Le long de mon coeur et se meurt
Pour rester au plus profond cachés
Pour ne jamais rien montrer.

Permalien Laissez un commentaire

La réussite envers et contre tous

15 février 2010 at 21 h 10 min (Non classé)

Malgré la souffrance
Malgré la maladie
Malgré les épreuves
Malgré la peur
La souffrance est bien là magré moi
La maladie me ronge malgré moi
Mais les épreuves malgré tous je les franchirai
La peur de défaillir je l’ignore
Malgré tant de barrières je m’accroche
M’accroche a mon envie de réussite
M’accroche a ce que mes parents on fait de moi
Mes parents on fait de moi une battante
La maladie a mis une carapace sur moi
Mais grâce a cette douleur inscessante j’ai la rage
La rage qui m’aidera à combattre
Cette difficultée a traverser
Grâce à ces bas je monterai haut
Haut comme l’intensité qui me martyrise
Haut comme le moral que je me force à garder
Haute comme l’envie de donner le meilleur de moi-même
Car après tous je leurs dois tout
Et pour eux je réussirai
Pour mes parents j’irai jusqu’au bout
Pour gagner du poignon afin de mettre enfin à l’abri
Ceux qui me soutiennent malgré cette maladie
Je ferais de tout ça un challenge
Challenge contre ce chir""qui a oser couper le nerf
Challenge contre cette maladie qu’aucun medecin ne veut soutenir
Challenge contre la douleur qui me tue et m’affaiblie
Mais les joncs c’est bien connu, se courbent mais ne rompts pas
Je souffre depuis tellement d’année que me battre, ça je connais
La méchanceté des gens n’est rien à cote de cette inadmissible maladie
Si je dois, seule me battre je le ferais
Jusqu’à l’épuisement et même plus
Pour ma famille j’irai jusqu’en enfer pour leur apporter le PARADIS  !!!!
Mea-culpa

Permalien Laissez un commentaire

Je les perd chaque nuits d’avantage, LA PEUR HANTE MES COURTES NUITS…..

13 février 2010 at 22 h 34 min (Non classé)

Chaque jour que dieu fait je les sens de moins en moins
Cette douleur me réveille sans arrêt
Mais tue la seule chose qui me reste
Ma douleur me tue et m’enlève ma seule occupation si elle me les prend
J’ai mal et pourtant elles ne répondent plus
Chaque nuit d’avantage
D’une minute à une heure
Parfois plus et parfois dans une souffrance dingue
Mais qu’ai-je donc fais pour mériter ça
Je ne sortirai jamais la tête du sac
Je ne veux pas voir cette déchéance
Que cette fin n’arrive point ici
Laissez moi rentrer chez moi avant
Mes jambes,mon dieu laisse moi les encores un peu
Laisse moi les encores vivantes
Je ne vivrais jamais sans
je survis déjà dans la douleur
Je survis dans mon malheur
Mais là, mon dieu ne me fait pas ça
Rend moi cette force et ne me les prend pas comme un voleur
Dans ces nuits où seul quelques heures sont un repos
Dans ces nuits ne prend pas ce qui me reste de mieux
Ne me prend pas ce qui me reste pour survivre
MON DIEU EXAUSSE MOI MAIS NE ME PREND PAS MES JAMBES COMME CA

Permalien Laissez un commentaire

En manque de vie

9 février 2010 at 21 h 40 min (Non classé)

Je vis face à cette horloge
Je ne veux pas proroger
Je ne veux plus regarder
Balancier de cette horloge
Arrête toi
Lâche moi
Proroge la vie de mes proches
Proroge à jamais la chance
et la vie de mes petits bouts
Prend la vie pourri que l’on m’a donné
Pour faire de leur vie un paradis
Détache moi de ce poids
Sauve moi de cette vie où moi je survis
Mes forces pour combattre ne sont plus
Promet moi d’assouvir mon plaisir
Promet moi enfin de réaliser mon voeux
Ce voeux si chers à mon coeur
Qui enfin soulagerait mes douleurs
Qui enfin débarrasera mon prochain
Du poid que je deviens
De la merde que je deviens
Mes douleurs ne me lâche jamais
Ne me laisse point dormir
Ne me laisse jamais souffler
Je deviens aigri
Malgré tout digne et pour autruis
Ne cèderais jamais face à ces larmes
Qui emplissent mes yeux tant la douleur est intenable.
Je me bat pour mes parents
Je veux leur servir sur un plateau
L’argent et la vie qu’il mérite
Pour tous ça je resterai et réussirai pour l’argent
Pour tous ça je ferais ce qu’il faut
Mais je ne pourrais point aller plus loin
Car ma vie est calcule permanent pour survivre
Calcul permanent pour vivre
Je ne peux plus rien faire à la volée
Les folies, même, je dois les calculer
Au grand risque de me voir obliger
De rentrer et me reposer
Moi qui rêve de journée pleinement remplis
Je dois compter chacuns de mes pas
Pour réussir à passer une pseudo journée
A laquelle profiter j dois
Malgré cette MERDE de douleur toujours avec moi!!!

Permalien Laissez un commentaire

Déferlante de problèmes VRIC VRAC DE RÂLERIES

3 février 2010 at 21 h 45 min (Non classé)

Ma vie impure continue
Malgré des grandes batailles
Je défaille
Souffrir autant je n’en peux vraiment plus
Jamais de trêve
Cette maladie me crève
J’aurai voulu continuer
Mais chaque jours elle ne fait que cumuler
Déficiances, difficultées
Progression
c’est sa passion
M’affaiblir
La fait jouir
Jours après jours elle m’use et m’abuse
Me fait découvrir ses nombreux secrets
Que sa rareté m’avait bien cachée
Dois-je résister et persister
Face à cet ennemi si insoumis
Dois-je résister et composer
Avec ce des notes à moitié crochetés
Je ne sais plus,
Le force n’est plus
Avec moi elle fût
Mais depuis tant d’année
Elle est somme toute usée
Je ne vis pour rien
Je ne survis, oui !
Mais pour qui ???
AVENIR pour moi c’est souffrir
JOUR et NUIT la douleur ne part plus
JOUR et NUIT a douleur s’éparpille
NUIT et JOUR je combats mes larmes
NUIT et JOUR la fatigue m’abat
Mais jusqu’au jour où se sera moi
Qui mettrait fin à ce combat
Qui mettra fin à ces douleurs
Qui jamais ne me quittent
Qui jamais ne me quittent
Promesse de ne jamais me plaindre ailleurs qu’ici
Promesse de me battre pour bosser sans compter
Promesse de survivre malgré tout
Promesse de me détruire plutôt que de détruire
DONC CE SOIR ENCORE UNE FOIS
CERTES ICI JE PLEURS
Mais jamais au non jamais ailleurs je ne craquerai
Oh ! toi maladie qui me ronge l’intérieur
Oh ! non jamais je ne te dévoilerai
Car plaisir je te ferai
De faire comme tant d’autre
Déballer ces plaintes sur les bancs publics
NON ça promis je me battrai
AFIN que jamais
PERSONNE ne s’aperçoivent de cette infame maladie
QUI sans coeur me fini
MAIS ne se sera qu’à la fin de ma survie
 
 
 

Permalien Laissez un commentaire

Brève de Beaudelaire brève de ma vie

1 février 2010 at 20 h 59 min (Non classé)

LE GOÛT DU NÉANT
 
Morne esprit, autrefois amoureux de la lutte
L’espoir, dont l’éperon attisait ton ardeur,
Ne veut plus t’enfourcher ! Couche-toi sans pudeur,
Vieux cheval dont le pied à chaque obstacle bute.
 
Résigne-toi, mon coeur ; dors ton sommeil de brute.
 
Esprit vaincu, fourbu ! Pour toi, vieux maraudeur,
L’amour n’a plus de goût, non plus que la dispute ;
Adieu donc, chants du cuivre et soupirs de la flûte !
Plaisirs, ne tentez plus un coeur sombre et boudeur !
 
Le printemps adorable a perdu son odeur !
 
Et le temps m’engloutit minute par minute,
Comme la neige immense un corps pris de roideur ;
Je contemple d’en haut le globe en sa rondeur
Et je n’y cherche plus l’abri d’une cahute.
 
Avalanche, veux-tu m’emporter dans ta chute ?
 
 

Permalien Un commentaire